Dans cette édition spéciale de Demain la Cité, David Derrouet, maire de Fleury-Mérogis explique toutes les raisons sa colère.
– Sa colère contre des entreprises françaises et l’état qui ne jouent pas le jeu du « Made in France ». Une usine de peinture, appartenant à un groupe japonais, risque d’être délocalisée dans les pays de l’est avec une centaine d’emplois en jeu.
-Sa colère contre le gouvernement qui ne versera pas des subventions pour des projets de rénovation prévus dans un contrat de ville. Si Fleury aura 0 euros d’autres villes voisines ont bénéficié de ces subventions pour leur contrat de ville. Pourquoi cette disparité de traitement?
-Sa colère contre les lenteurs de l’administration française qui empêche de démarrage de projets importants autour de la maison d’arrêt et d’un centre commercial…