Jérôme Joinet reçoit Corentin de Montmarin, responsable pédagogique à l’Institut Supérieur de l’Environnement pour l’édition spéciale du Journal de l’Emploi sur le Salon de l’Immobilier Bas Carbone.
L’Institut Supérieur de l’Environnement propose des formations liées à la transition écologique
L’ISE propose des masters Immobilier Durable et Performance Énergétique, Économie Environnemental, Sociale et Solidaire ou encore Transition Écologique et RSE, tous titre RNCP niveau 7. L’Institut propose également des bachelors en Environnement, Écologie Biodiversité et Gestion des Espaces Naturels… Il y a aussi un BTSA en Gestion et Protection de la nature, un titre diplôme national de niveau 5. Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site de l’Institut.
En 30 ans d’existence, L’Institut Supérieur de l’Environnement s’est adapté aux exigences de transition écologique. En effet, le master historique de l’école s’est transformé et a intégré du droit. Ceci afin de permettre aux étudiants d’être aux faits des nouvelles lois. Ainsi, ils pourront être très utiles au sein d’une entreprise face aux contraintes légales.
En effet, l’Institut Supérieur de l’Environnement comble un décalage entre les lois environnementales et les formations et entreprises. L’école propose donc des formations adaptées aux élèves et à l’état actuel de l’environnement.
Avec L’Institut Supérieur de l’Environnement, les étudiants ont directement un pied dans le monde professionnel. Ils ont la possibilité de faire de l’alternance ou de l’initiale avec des stages tout au long de l’année. Il y a aussi des personnes du secteur qui s’inscrive pour une reconversion professionnelle. Effectivement, à l’ère de la transition écologique, les professionnels viennent à l’institut acquérir de nouvelles pratiques. Pour ce cas, il y a éventuellement un financement du CPF.
Les formations peuvent se faire en présentiel ou à distance. Il y a des formations de 12 mois ou alors par blocs de formation d’une durée de 3 mois. Si Corentin de Montmarin insiste sur l’apprentissage des métiers de la transition écologique, il décrit l’Institut comme le moyen idéal d’y parvenir.